mercredi 21 décembre 2011

Rire à en pleurer

La tribune a publié le 21 décembre 2011, 2 articles qui devraient alerter l'opinion tant les sujets mettent en péril l'avenir de nos sociétés.

L'enfumage de la population par nos élites n'a plus de limite. On ne compte plus les milliards additionnés ou soustraits par la BCE, les Banques, le FMI. Les décideurs du monde fondent leurs visions de l'humanité sur un système monétaire virtuel dont le seul intérêt et de gaver la croissance matérielle et la natalité. L'inflation règne en maître, les bulles immobilières et des matières premières, la natalité prospèrent, bref la maison brûle et nous regardons toujours ailleurs ... Le système politico-financier est occupé et manipulé par une poignée d'oligarques dont l'humanisme et la sagesse n'a d'équivalence que celle du Fer de lance commun. Il est encore temps de remettre l'humanité sur les rails si tant est que le peuple ait encore son mot à dire. Ce dernier n'est plus à la table du jeu et a perdu sa liberté de penser. Il en a été écarté par les adeptes de Milton Freidman. Les libéraux de l'extrême détiennent les richesses et le pouvoir, ils voient d'un mauvais œil la décroissance, la démondialisation, l'anti-corruption, le protectionnisme et autres théories plus raisonnables.

Si le bon sens est un contre pouvoir, nous devons tous être paysans !

Les premières questions que je me pose en lisant cet article, c'est "après quoi courons-nous ?"
Quel intérêt pour l'humanité de continuer à se reproduire en masse si nous devons à terme, bétonner et goudronner l'ensemble de la planète ?
L'augmentation de la densité d'une population de mammifère augmente son taux de mortalité lié au stress par la promiscuité (et nous les hommes ?).

Deux théories à connaître pour comprendre la folie humaine :
1- Les producteurs-consommateurs : tant qu'il y a des consommateurs, je consomme.
Si il y a des consommateurs , le producteur continue à produire. 
Le premier maillon des producteurs c'est la Terre (air, eau, matière 1ère). GROS problème pour l'humanité (dont les français), ses ressources sont limitées en volume et dans le temps.

2- La théorie du chaos ou "effet papillon" : "... Une cause très petite qui nous échappe, détermine un effet considérable que nous ne pouvons pas voir..." (H.Poincaré).
Les changements sur le biotope imposés par l'homme vont s'amplifier avec le temps (comme les intérêts d'un placement financier ...) et avoir des impacts sur notre environnement et nous-même, considérable !

La seule solution qui s'imposera à tous, à terme : diminuer le nombre de consommateurs (soit baisser le taux de natalité) ou trouver un autre biotope (autre planète, biosphère, etc).

vendredi 2 décembre 2011

Plutôt pauvre que soumis

Le site Gecodia nous apprend dans un article intitulé « Qui détient la dette de la France ? » que sur les 1 308 milliards € de dette émis par l’Agence France Trésor pour le compte de l’Etat, 66 % est détenue à l’extérieur de la France !

Sans rentrer dans les détails techniques de ce surendettement, la question que je pose est :
quelles sont les marges de manœuvre d'une nation et de son peuple dépendant à 66% de « son banquier » qui plus est étranger ?
Réponse : aucune ?

La France est soumise au dictat financier source du néolibéralisme. L'enrichissement personnel écrase la déontologie humaniste voire le bons sens lui-même. Nos décideurs n'ont rien compris aux risques qu'ils prenaient en étant sponsors de l'ultra consommation. Aujourd'hui ces professionnels du pouvoir depuis 40 ans (quelles ques soient leurs sensibilités politiques) s'étonnent voire s'offusquent du merdier qu'ils ont créé : un procés pour délit contre l'humanité ne serait que justice...

Les Européens, et les Français en particulier, doivent se ressaisir et prendre en main leur destin.
Pour trouver la solution à un problème complexe, rien de tel que de ramener l'énoncé à un exemple simple et connu.

Comment un bon père de famille gèrerait -il son patrimoine si il était surendetté ?
Il chercherait le moyen de se débarrasser de l'emprise de son banquier sur sa vie quotidienne et à retrouver la descence d'un citoyen libre de ses agissements.

L'endettement peut-être combattu par des choix raisonnables.
Il n'y a rien de plus humiliant que de perdre sa liberté d'agir, emprisonné par une dépendance à l'argent. L'argent ne doit être qu'un outil pour améliorer son éducation, préserver sa santé et son environnement. L'argent peut permettre le pouvoir sur autrui, la possession et le confort matériel mais en aucun cas il ne pourra vous offrir la liberté de penser autrement.

Nous avons tous le choix.
Quelles que soient nos situations, nous avons toujours la possibilité de choisir l'étape d'après.
Le choix de décider de notre destinée et par là même, ensemble, celle de notre pays et de notre planète.

Les moyens sont disponibles ne seraient ce qu'en épargne ...
Soyons humble et insoumis, abandonnons l'argent à nos créanciers étrangers, c'est à ce prix que le peuple de France retrouvera sa dignité.

jeudi 10 novembre 2011

Faire du vieux avec des jeunes

Ce texte est un assemblage d'articles publiées sur internet (bravo à leurs auteurs) dont l'objet est de mettre en lumière la position factuelle de la jeune génération vis à vis des seniors (>55 ans) et des nantis (10% des plus riches).

De 1981 à 1996, c'est un peu moins de 19 millions de personnes nées (presque 1/3 de la population !) qui ont connu pèle-mêle 3 chocs pétroliers, la pollution et l'urbanisation, le réchauffement climatique, l'informatique, la télé-réalité, la crise économique, la paupérisation, le chômage !

« Ils sont les témoins des conséquences de la guerre-froide, des divorces en série, de l'explosion des hautes technologies et des récessions  en tout genre ». 

Quel que soit son nom, cette génération X, Y ou Z s'indigne dans le monde entier et ne croit plus en ses pairs car les générations précédentes ont sacrifié leurs enfants par gourmandise, par avarice et par orgueil.
Par gourmandise pour la liberté des sens, par avarice pour ne plus partager le travail et la richesse, par
orgueil pour ne pas accepter de remettre le destin de la société à une partie de sa descendance.

Qu'est ce qu'un jeune ?
Sigmund Freud affirmait que tout était joué avant 6 ans (petite enfance), son collaborateur Carl Gustave Jung pensait que l'âge adulte débutait à 35 ans !  Soit 30 années pour bâtir une personnalité (dont 10 à l'école - obligatoire jusqu'à 16 ans) propre et indépendante. Karl Bühler estimait, quant à lui, que la période
d'adolescence et du jeune adulte commençait à l'âge de 15 ans. 

En se référant à ces 3 brillants psychanalystes, on peut considèrer que l'adolescence est l'âge propice pour s'intéresser à la vie politique et civique, la génération des "indignés" appartiendrait donc à ceux nés entre 1975 (35 ans aujourd'hui;6 ans en 1982) et ceux nés en 1995 (15 ans à ce jour). 

Qui sont les jeunes ?
La société dans laquelle évoluent les jeunes se caractérise par une remise en cause de leur position
économique portée par 3 valeurs en crise :
- les valeurs de la famille,
- les valeurs économiques et politiques,
- les valeurs environnementales. 

➔Crise de la famille.
"Les pressions de la vie moderne placent la famille dans une situation toujours plus difficile, affaiblissant sa stabilité, réduisant sa dimension, changeant sa configuration, et posant question sur la façon dont elle pourra continuer à l'avenir sa mission de cellule fondamentale de la société, pont entre cette société et l'individu, et matrice intégrative de l'être humain dans cette société.
En Europe le nombre de mariages a diminué de 40% au cours de la dernière génération, cependant que le taux des naissances est tombé de 25%."
Ces changements sont survenus sur un fond de transformations économiques qui ont amené des millions de femmes dans le marché du travail et engendré une compétition pour les postes de travail qui amène souvent les parents à travailler à des centaines, voire à des milliers de kilomètres du foyer familial. 

4 phénomènes sociétaux apparaissent :
• la famille-institution à la famille-pacte : dévaluation des notions de devoir et de responsabilité
sociale, et une recherche de plus de liberté individuelle et d'auto-satisfaction.
• La diminution du temps donné par les parents à leurs enfants : le fait qu'une grande partie des mères
travaillent maintenant hors du foyer a entraîné un manque croissant dans ce qui était le rôle
traditionnel de la famille: l'éducation.
• Quant à ceux qui ont grandi dans une famille unie (vivant sous le même toit), cette dernière est
absente  car tout le monde est au boulot et le mercredi c'est sport, ce qui a renforcé le sens de
l’individualisme.
• L'absence d'un des parents : les parents se désengagent de leurs responsabilités et rechignent aux
sacrifices de temps et de loisirs pour leurs enfants. Un vide qu'occupe les médias (TV, Internet) qui représente la source d'influence principale dans la vie des enfants."(Sacrée Congrégation pour La Famille). 
 
➔Crise économique, crise du politique.
"Le sociologue Louis Chauvel, l'auteur de Destin des générations, dénonçait le triple handicap des classes d'âges qui ont succédé aux baby-boomers. Les écarts salariaux s'élargissent (en 1977, les quinquagénaires gagnaient 15% de plus que les trentenaires, la différence atteignait 40% en 2000), les risques de déclassement deviennent plus fréquents, et l'accès à la politique plus difficile. Louis Chauvel nous fait remarquer que la Chambre des députés élus en juin 2007 a été la plus âgée de toute l'histoire de nos républiques ! 
 
Martin Hirsch, le haut-commissaire à la Jeunesse dit : «Entre le troisième trimestre 2008 et le troisième
trimestre 2009, le taux de chômage a augmenté 2,7 fois plus vite pour les jeunes que pour la population totale (+ 4,6 points contre + 1,7) pour atteindre 23,8% (9,1% pour l'ensemble de la population », écrit-il dans « L'État de l'opinion, TNS Sofres 2010 ». Les jeunes en question sont les moins de 25 ans, selon la typologie classique de l'administration française, qui répugne à raisonner en termes de générations. La remarque de Martin Hirsch n'en est pas moins de bon sens : «Les jeunes sont ainsi confrontés à une situation paradoxale : la démographie et la politique sociale de la France les désignent comme ceux sur qui vont porter la dette publique et le poids des retraites, mais l'accès à l'emploi leur est difficile." 

« D'autre part, il existe de grandes disparités de patrimoine entre les jeunes ménages. Elles sont même plus fortes à cet âge parce que les héritages et donations jouent un plus grand rôle dans sa constitution initiale. Les 10% des jeunes les plus favorisés possèdent plus de 100 000 euros alors que la moitié des jeunes ont moins de 5 000 euros de patrimoine. Enfin, pour s’approcher au mieux des niveaux de vie de la population, il faut aussi prendre en compte les principales charges. Les impôts bien sûr : les jeunes actifs célibataires sont lourdement pénalisés par le système d’impôt sur le revenu français, très favorables aux familles aisées, par le biais du « quotien familial »1. Surtout, ils ont subi beaucoup plus que les autres ménages les effets de l’envolée des prix de l’immobilier : accès à la propriété rendu presque impossible, loyers qui grimpent en flèche . Les jeunes sont comme pris en tenaille par des revenus qui stagnent et un coût du logement qui progresse, imposant des restrictions importantes pour les plus modestes (logement, loisirs, etc.) ». 
 
➔Crise environnementale
« Nous vivons actuellement une crise environnementale sans précédent. Les scientifiques et les experts
peuvent nous le démontrer, preuves à l’appui. La planète se réchauffe, les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter, des catastrophes climatiques sont à prévoir, la planète étouffe. 
C’est un fait difficile à contester, les médias, groupes environnementaux et éducateurs sont là pour nous le rappeler.

Les jeunes sont pessimistes quant à l’avenir. La majorité estiment que dans vingt ans, la situation sera pire, quel que soit le thème proposé : pollutions diverses, changements climatiques, épuisement des ressources, etc.
... » 

Que peut-on faire ?
Notre société doit tout d'abord s'interroger sur son avenir, après quoi court t-on ? Quel est le but de
l'humanité ? Quelle société avec quelles valeurs ? Quid de la famille et de l'environnement ? Quel est notre socle fondateur ? 

En tout état de cause « Il faut faire confiance aux jeunes, leur donner la parole, les écouter, les
reconnaître et les valoriser. Les jeunes partagent les mêmes craintes que les adultes quant à l’avenir de
la planète, les mêmes incertitudes. L’importance des liens humains prend tout son sens dans ce contexte. Un jeune doit pouvoir s’appuyer sur un adulte en qui il a confiance et cette confiance doit être réciproque. »
Cette population est caractérisée par son individualisme (moi je), son interconnexion (Facebook, Twitter), son impatience (consommation sur étagère sans effort) et son inventivité (nouvelles technologies, modes). 

Une relation intergénérationnelle peut-être mise en oeuvre de manière efficace sous plusieurs conditions :
a) Les objectifs d'approches et/ou de responsabilités sont établis très clairement, avec pédagogie et sans ambiguïté dès le début de la communication/du contact (ex : campagne de communication claire,
responsabilité donnée avec objectif à atteindre clair et réaliste).
b) Les missions, les rôles ou les postes sont à forte valeur ajoutée. Des missions  qui ont un sens et qui
participent à leur développement personnel leurs sont confiées. Il faut que les seniors acceptent de
partager les postes de décisions économiques, civiques et politiques avec les plus jeunes.
c) La dimension NTIC (nouvelles technologie de l'information et de la communication) : internet,
réseaux sociaux facebook, twitter, iphone etc ...sont intégrés dès les 1ere réflexions quant à un projet
tenant compte de l'instantanéité de l'information qu'offrent les NTIC (ex: promotion médiatique via
internet ou iphone).
d) Les responsabilités confiées sont:
• participatives (le jeune est entendu, écouté et s'exprime librement),
• non hiérarchisées (discussions libres à tout les échelons de l'organisation, la porte n'est
pas fermée) et non bornées (stop au pré-carré des anciens et à l'organisation verticale,
organisation horizontale matricielle et transverse),
• ouverte afin de permettre à l'intéressé d'apprendre et d'évoluer tous les jours (recherche
personnelle, idée de changement pour une organisation).
e) Le télétravail doit devenir une norme d'organisation tenant compte de la contraction des distances, de la rationalisation des déplacements et des moyens économiques.
f) La structure politique doit intégrer les jeunes en tant qu'acteur et non spectateur pour équilibrer les
politiques publiques en matière de vision sociétale, de revenu, d'écologie.
 

Le retour sur investissement devra être le développement par les jeunes d'un esprit d'entreprendre basé sur la prise de risque individuel qu'il soit sous forme d'idée innovante, d'engagement financier ou temporel. 

Conclusion
« La plupart des jeunes sont révoltés contre le manque de dialogue entre générations, l'absence de démocratie générationnelle, la dictature de la finance et la destruction de l'environnement.
On observe un déraillement des rapports entre générations. Unanimement, c’est l’impéritie des dirigeants qui ont gouverné le monde depuis trente ans, qui est dénoncée »
« Ces générations étaient jusque là canalisées en France par une culture du diplôme ou chacun pouvait
espérer prendre l'ascenseur social. Toutefois, l'indignation est à son comble lorsque on a effectué des efforts et des sacrifices financiers pour obtenir un diplôme et que celui-ci ne procure pas de débouché. Elle entremêle la stupéfaction, le sentiment d’un énorme gâchis, l’angoisse du déclassement, et pire encore, l’effroi devant ce qui s’esquisse comme un 'no future' ».

Attention, poudrière !

http://www.unep.org/french/
http://www.cadremploi.fr/edito/actu-et-conseils/vie-professionnelle/efficacite-
professionnelle/d/1/manager-les-y-les-cinq-commandements.html
http://www.slate.fr/story/45317/indignes-french-paradoxe
http://sociologies.revues.org/index3349.html#tocto1n3
http://www.vaninadelobelle.com/Analyse-sur-la-generation-X_a1067.html
http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/07/29/chomage-les-seniors-sont-indesirables-dans-
les-entreprises_1553945_3224.html
http://www.latribune.fr/opinions/20111004trib000653960/quand-les-peuples-se-
reveilleront.html
http://www.ouestfrance-emploi.com/actualite/accueil_detailFormation_-Le-diplome-remede-
au-chomage_40006-1807546_actu.Htm
http://www.lefaso.net/spip.php?article44841&rubrique4
http://www.insee.fr/fr/themes
http://www.liberation.fr/societe/01012300228-le-jeune-de-banlieue-n-existe-pas
http://fr.liberpedia.org/Jeunes_des_banlieues
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/03/22/04016-20100322ARTFIG00573-la-generation-
du-millenaire-massacree-par-la-crise-.php
http://www.vaninadelobelle.com/Analyse-sur-la-generation-X_a1067.html
http://www.lemonde.fr/societe/chat/2005/11/04/banlieues-qui-sont-les-jeunes-en-colere-chat-
realise-le-4-novembre-2005_706486_3224.html
http://blog.lefigaro.fr/geopolitique/2011/05/espagne-la-jeunesse-en-revolte.html
http://www.rue89.com/2010/08/18/les-jeunes-face-au-chomage-une-generation-perdue-162822
http://www.capital.fr/carriere-management/actualites/les-diplomes-de-l-universite-s-inserent-
mieux-sur-le-marche-du-travail-639533
http://www.meq.gouv.qc.ca/sections/viepedagogique/154/index.asp?page=dossierC_2
www.prisme-asso.org/IMG/pdf/observatoire_revenus.pdf
www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ref/revpmen09d.PDF
http://www.gauchemip.org/spip.php?article280
http://www.surfeco21.com/?p=56
http://la-chronique-agora.com/les-seniors-sont-ils-tous-des-egoistes/
http://www.emploiavenir.fr/wordpress-3/?p=13

mardi 25 octobre 2011

Un gateau aux 15 milliards de parts

Pour discréditer un propos qui dérange, la phrase la plus utilisée est :" vous êtes démagogiques !".
Combien de scientifiques ou d'experts ont entendu et entendent encore cette rhétorique lorsqu’ils expliquent factuellement que la population c'est comme la croissance çà ne peut pas croître indéfiniment ? 

Le plus connu d’entre eux, c'est Jean-Yves Cousteau qui disait : "nous dépasserons presque certainement les dix milliards d'individus d'ici quelques décennies. Les pressions de l'opinion publique sont nécessaires plus que jamais".

Démago Cousteau ?
Il faut croire que non.

Dans la dernière publication de l'UNFPA, l'ONU envisage une population mondiale dépassant les 15 milliards d'individu en 2050. A t-on déjà entendu une telle prédiction par une organisation officielle ?
Le train à grande vitesse continue d’accélérer et personnes ne réagit concrètement ni l'ONU, ni le G20 ni aucun chef d'Etat (du moins officiellement).

Comme tout système chaotique, l'écosystème dans lequel nous vivons devient instable et a perdu son équilibre naturelle. Ce déséquilibre entre les populations (y compris animales) et les ressources disponibles (espaces et nourritures) va avoir de grave conséquence si il n'est pas réglé rapidement par nos chers politiques.

Pour s'en convaincre, il suffit d'observer une population d'animaux en situation de surpeuplement : stress et violence augmente. Il n'y a aucune raison pour que nous fonctionnons différemment !

Si nous ne voulons pas arriver à une situation de conflit ouvert et armé avec nos voisins du monde, il est temps d'agir officiellement contre ce fléau qui est la source de la plupart de nos maux écologiques, sociales,  médicales mais aussi ... économiques.





jeudi 20 octobre 2011

Notre Révolution raisonnable - §3 : reconstruire après le désastre

Chapitre 1 : Notre Révolution raisonnable - §1 : Maslow et les crédits dérivés
Chapitre 2 : Notre Révolution raisonnable - §2 : La curée financière
Chapitre 3 : Notre Révolution raisonnable - §3 : reconstruire après le désastre


"Changement à venir"
Il n'existe sans doute pas de solution miracle pour régler le problème des crédits dérivés cause de la crise de la dette. Mais les posts
précédents permettent de décrire les erreurs commises par les politiques ultra-libérales qui ont conduit notre civilisation au bord du gouffre. Des solutions existent mais le temps de leur mise en œuvre devra être très rapide et très efficace. Cette crise est puissante, son inertie pouvant briser toute tentative de changement.



  • LES SOLUTIONS
Si nous sommes dans un TGV qui se dirige à grande vitesse vers le précipice. Peut-on inciter les peuples à utiliser le bons sens pour ralentir, dévier et éviter le grand saut ?

Affirmatif, on le peut !

Notre sixième sens va nous y aider et nous permettra de mettre en œuvre les actions les plus urgentes.

Les 8 propositions ci-dessous seraient un début de solution :

1-Le système financier au Kärcher.
C'est la priorité 0 des dirigeants. Pour que les États puissent continuer à payer les pensions des retraités, des invalides et des fonctionnaires, ils sont dans l'obligation d'imposer aux créanciers (les banques notamment), la destruction pure et simple d'une partie de leurs actifs...des actifs fantômes -au bas mot 600 billions (18 zéros) à 1,5 quadrillions (24 zéros) de dollars- qui n'ont jamais eu de valeur intrinsèque car créés par effet multiplicateur !!!

@cteurs :
- le G20 pour prendre la décision,
- les gouvernements pour protéger les plus faibles,
- Nous les citoyens pour accepter la perte d'une partie de notre argent.

2- Le consommateur et le producteur raisonnable.
La production de monnaie (ou de crédit) a permis aux populations de consommer sans limite.
Pour diminuer la masse monétaire, il suffit de diminuer le nombre de consommateurs c'est à dire accepter une démographie raisonnable en appliquant des politiques sociales limitatives.
La gestion des pertes d'emploi liées à la baisse de consommation seront anticipés par l'application des points 3 et 5.

@cteurs :
- le G20 pour prendre la décision,
- l'ONU pour supporter et déployer cette décision,
- Nous les citoyens pour assurer une fécondité raisonnable .

3- Le recyclage pour protéger les ressources
Il s'agit de remplacer les matières premières extraites par des matières premières recyclés. Les industriels doivent utiliser les ressources à recycler.
La gestion des pertes d'emploi seront anticiper par l'application des points 3 et 4.

@cteurs :
- le G20 pour prendre la décision,
- l'OMC pour supporter et déployer cette décision, 
- les gouvernements et les industriels pour proposer et soutenir des procédés efficaces,
- Nous les citoyens pour opérer ce tri des matières .

4- Le local pour limiter les pollutions et développer les emplois
Le cycle de vie d'un produit ou d'un service doit prendre en compte l'impact environnemental (rareté des matières, pollution) et social (distance des emplois, droit de l'homme, humaniste).
Ce point impliquera l'adaptation de tous à une consommation volontaire raisonnée et raisonnable (plus de Porsche, de 4x4, de jet ski thermiques pour tous...).

@cteurs :
- le G20 pour prendre la décision,
- l'OMC pour supporter et déployer cette décision, 
- les gouvernements et les industriels pour proposer et soutenir des procédés efficaces,
- Nous les citoyens pour se former et s'adapter à de nouveaux emplois .

5- La conquête intra et extra planétaire
Créer un programme mondial, un nouveau new Deal, pour innover et lancer des projets de conquête spatiale, sous-marine, green Business, bref du développement durable et des hautes technologies, ceci pour créer de l'emploi partagé et faire tourner le moteur économique.
Ce point sera financer par le point 6.

@cteurs :
- le G20 pour prendre la décision,
- l'OMC pour supporter et déployer cette décision, 
- les gouvernements et les industriels pour soutenir et proposer les projets.

6- L'avarice
Assainir et taxer les flux financiers soit mettre en place la taxe Tobin sur les transactions quelles qu'elles soient.
Lier les investissements financiers à l'économie réelles en bloquant l'argent au regard du cycle de vie du produit. Une voiture vit durant 10 à 15 ans alors bloquons une action Ford, Toyota ou Renault sur cette même période.

@cteurs :
- le G20 pour prendre la décision,
- l'OMC pour supporter et déployer cette décision, 
- les gouvernements et les banques pour mettre en œuvre.

7-Faire mieux avec moins.
C'est appliqué à tous le principe du bons sens (distinguer le vrai du faux ou créer l'équilibre entre le coeur et la raison) simplement et volontairement pour arriver à un impact écologique et social le plus faible possible.
  • plus d'efficacité dans les administrations (sens du service et de la valeur ajoutée),
  • moins de vacances à l'autre bout du monde (point 4),
  • produits industriels écologiquement optimum (point 5),
  • beaucoup plus d'immensités naturelles vraiment protégées sans passe droit VIP (les reliefs, les côtes, les zones humides,etc …).
@cteurs :
- l'OMC pour supporter cette politique, 
- les gouvernements pour mettre en œuvre cette politique,
- les industriels pour proposer et soutenir des procédés efficaces,
- Nous les citoyens pour devenir raisonnables et imposer cette volonté.

8-Fédération des Etats d'Europe (FSE- Federated States of Europe).
La période est propice aux grands projets : la fédération Européenne en est un.
Les gouvernements doivent créer un nouvel Etat, la FSE autour de valeurs et de symboles communs admis et partagés :
  • une langue,
  • une fiscalité,
  • une armée,
  • une police,
  • une administration,
  • un gouvernement,
  • une assemblée,
  • des sélections sportives,
  • un drapeau,
  • un hymne,
  • des frontières,
  • etc …
Au même moment, les États devront supprimer leurs instances nationales (ministères, départements, parlements, ...) afin de stopper les dépenses publiques et réorienter les budgets (coupe franche dans la défense par exemple).
@cteurs :
- États de l'Europe géographique souhaitant partager une démocratie commune,
- les partis politiques pour s'entendre et supporter.
  • LA CONCLUSION
D'autres propositions peuvent sans doute enrichir cette liste, mais espérons que nos politiques sachent prendre déjà les bonnes et sages décisions.
 L'auteur Romain Guilleaumes a écrit "En démocratie, où le suffrage universel l'emporte toujours, on n'a que les élus que l'on mérite".
Gardons cette citation précieusement au fond de nous. Arrêtons d'élire des hommes de communication capables de transcender les foules et de faire carrière en politique mais incapables d'avoir une critique technique, un projet de civilisation ou une vision du monde. 
Inversons la tendance, nous en avons le pouvoir individuellement. Votons et confions notre destinée à des hommes ou des femmes peu connus, mais de terrain, de la vie civile qui ont envie de construire un monde pérenne, juste et raisonnable.

samedi 1 octobre 2011

Notre Révolution raisonnable - §2 : La curée financière

Chapitre 1 : Notre Révolution raisonnable - §1 : Maslow et les crédits dérivés
Chapitre 2 : Notre Révolution raisonnable - §2 : La curée financière
Chapitre 3 : Notre Révolution raisonnable - §3 : reconstruire après le désastre

Dans le post précédent "Notre Révolution raisonnable - §1 : Maslow et les crédits dérivés", j'ai vulgarisé le processus économique avant la création des produits dérivés. L'impact de ses montages financiers a bouleversé l'équilibre du monde  lors de leur arrivée dans les banques.

  • PROCESSUS ÉCONOMIQUE APRÈS LES PRODUITS DÉRIVÉS

Reprenons l'exemple de notre piscine, imaginez que vous branchiez sur votre pompe de nettoyage un tuyau de remplissage.

Que se passe t-il ?
Évidemment votre piscine finit par déborder puisque vous ajoutez de l'eau (ou du pétrole) sans la vider …
Imaginez maintenant que vous souhaitiez absolument conserver ce précieux liquide supplémentaire.

Que faites vous ?
Et bien vous avez plusieurs possibilités : écoper le surplus dans une autre piscine, ajouter une ou plusieurs pompes pour la conserver ailleurs, élever les rebords de la piscine, chauffer pour évaporer, le brûler si c'est du pétrole !!! etc etc ...

Les produits dérivés, c'est à dire in fine l'argent (la monnaie scripturale pour être précis), ont le même effet sur l'économie que le fluide additionnel envoyé par notre tuyau de remplissage branché sur la pompe : une augmentation incontrôlée du volume d'argent disponible par les banques, donc un système économique in fine incontrôlable (dont nos placements personnels).

Comment la magie opère ?
La perversité n'ayant pas de limite, les lois régissant le comptabilité des organismes bancaires (dans le monde de l'OMC) appelé Bâle I, II et aujourd'hui Bâle III, autorisent les banques à prêter à ses clients 90 à 96% d'argent qu'elles ne possèdent pas ... Elles ont tout de même obligation d'avoir des fondations "solides" en gelant 10% à 4% de leurs actifs sous forme de fond propre (leur bas de laine).

Autrement dit si une banque décide d'avoir en fond propre 4% de ses actifs (l'épargne de ses clients+l'apport des dirigeants- qui par exemple est de 100 unités) alors elle met dans son coffre fort 4 unités qu'elle ne touche plus. Puis prête 96 unités à ses clients (en argent numérique virtuel la plupart du temps) !

C'est ce que l'on appelle l'effet démultiplicateur.
  • OBSERVATION
Accroissement du volume
des crédits dérivés aux USA
Le quotidien des citoyens est bouleversé aujourd'hui par les effets collatéraux de la multiplication de la monnaie disponible dans le monde (ou démultiplication des crédits).

Parti d'une idée brillante et surement vertueuse, les dérivés de crédit ont rendu les agents économiques (nous tous) obèses d'argent disponible.
 Ce système a permis aux États, aux entreprises et aux ménages (nous les citoyens) de s'endetter (via le crédit), d'élever leur niveau de vie et leur confort. En consommant des biens (achat maisons, voitures, TV, téléphone, ordinateurs, nourriture, etc...), des services (électricité, eau, chauffage, etc ...) et en permettant l'augmentation des salaires, cette bulle monétaire a boosté la croissance économique mais a surtout provoqué un effet collatéral ignoré des économistes, l'épuisement des matières premières et des espaces.
Évolution de la population urbaine dans le monde (ONU)
Les matières premières sont siphonnées par l'exploitation des ressources nécessaires à la fabrication des biens et des services. Les espaces sont cannibalisés par l'accroissement de la population et l'occupation des étendues (par les industries -bois,agricultures, industries d'extraction, de fabrication et de transformation-, les commerces, les transports -routes, voie ferrées, etc...-, les logements).

Le système économique devenu chaotique, la déflation salvatrice devrait suivre l'inflation pour purger l'Excédent de monnaie.

Vitesse de croissance des populations (Gauche)
Rejet de CO2 dans l'atmosphère (Centre)
Nombre d'équivalent Terre consommée (Droite)

Le nettoyage a d'ailleurs débuté. Ce sont les banques elles-mêmes qui sont à la manœuvre. Pour cela elles provisionnent des pertes, augmentent les tarifs et ne prennent plus aucun risque sur les prêts. Elles ne prêtent plus qu'aux entreprises, aux communes et aux ménages lorsqu'elles sont sures et certaines de ne courir aucun risque d'insolvabilité.

De fait, la récession est là (Voir la double flèche X sur le schéma MacroEconomique) car par effet de bord les crédits sont beaucoup moins disponibles, la dépense et l'investissement se dégradent, la production diminue sevrée par la consommation en berne. La bulle des crédits dérivés dégonfle. La sacro sainte croissance s'épuise pour le plus grand bonheur de la planète mais pour le grand malheur des hommes.

L’Histoire retiendra peut-être que les dérivés de crédit ont, sur une période de vie très courte (20-25 ans), accéléré jusqu'à une vitesse incroyable la destruction de notre biotope : la planète Terre.

vendredi 23 septembre 2011

Notre Révolution raisonnable - §1 : Maslow et les crédits dérivés

Chapitre 1 : Notre Révolution raisonnable - §1 : Maslow et les crédits dérivés
Chapitre 2 : Notre Révolution raisonnable - §2 : La curée financière
Chapitre 3 : Notre Révolution raisonnable - §3 : reconstruire après le désastre


L'économie est un des codes fondamentaux pour comprendre le monde incontrôlable (et incontrôlé) dans lequel notre civilisation s'est enfoncée depuis l'ère des dérivés de crédit.

Ces produits financiers ultra complexes (par exemple les CDO et les CDS)  créés par les banques US au début des années 90 (connus et compris uniquement par certains spécialistes) ont donné naissance notamment à partir de 2004 à un autre produit dérivé : les subprimes.
Ce jeu d'experts aurait pu rester une expérience exotique si nos vies de citoyens du monde n'avaient pas été contaminées par les radiations monétaires émises par cette chimère. Aujourd'hui par ses effets collatéraux, cette créature virtuelle met en danger la planète et l'humanité.

Le schéma modifié (MacroEconomie.pdf) ci-dessus (original Wikipédia), présente le fonctionnement général de l'économie d'un pays à travers ses flux de biens et/ou services.
 Mais la théorie Macroéconomique oublie un acteur majeur de notre vie : la Terre, qui est la branche de la vie sur laquelle l'humanité se dandine depuis des millénaires.
  • PROCESSUS ÉCONOMIQUE AVANT LES PRODUITS DÉRIVÉS*
MacroEconomie.pdf
(1) Les Ménages ou citoyens ont des besoins décrits par la pyramide de Maslow : manger, boire, se sécuriser, se chauffer, etc ....
(2) Au début de l'humanité, les hommes trouvaient leurs ressources directement dans la nature.
(3) Mais à l'ère industrielle, l'homme s'est organisé pour se spécialiser et pu rapidement échanger et acheter des biens et des services auprès d'autres acteurs permettant ainsi la création d'unités de production pour satisfaire ses besoins : les entreprises (4).

(5) Pour créer les biens dont la population a besoin l'entreprise utilise des ressources physiques issues des matières premières extraies de la Terre et des ressources humaines (vous/moi...).

L'exploitation de l'homme par l'homme permet ainsi la création d'emploi (6) générateurs de revenus. Ces revenus sont injectés directement dans la consommation de nouveaux biens et services (3) - une maison, une TV, de l'électricité, un conseiller fiscal,etc... - ou épargnés auprès des banques ( 7).

C'est ainsi qu'avant les produits dérivés, le système économique arrivait bon an mal an à s'équilibrer. Les flux de l'économie réelle (échanges entre ménages/marché/entreprises) étaient régulés par l'économie financière à proportion quasi égale. La variable quasi variant selon le taux d'intérêt appliqué par les banques au moment de la gestion de l'épargne ou des prêts.

Mais somme toute, le système ressemblait à un circuit fermé régulé par la banque centrale du pays.

On peut ainsi comparer cette organisation à une piscine équipée d'un circuit de nettoyage rempli d'un liquide précieux (va pour le pétrole...). La pompe serait notre banque, le fluide la monnaie et les parois de la piscine notre monde (des entreprises, des consommateurs, etc ...).

Un jour, arrive les produits dérivés ... (§ suivant)

*les numéros entre parenthèses correspondent aux bulles du schéma.

mardi 23 août 2011

Puissance des classes dirigeantes et faillite de la démocratie

Les scénaristes n'ont plus besoin de se creuser les méninges pour écrire des fictions. Il suffit de retranscrire les informations quotidiennes pour avoir une idée de film à sensation.

Voilà une observation personnelle qui pourrait donner des idées à Hollywood ou à tous ceux qui comme moi cherchent des réponses. 

Les quotidiens mondiaux font leurs grands titres sur la prochaine libération de DSK. Cyrus Vance n'ayant "à priori" pas de preuve objective pour gagner un procès.
Peut-on imaginer qu'il y ait un lien avec le fait qu'au même moment un certain nombre de privilégiés, tous appartenant à L'Association française des entreprises privées (AFEP) demandent un impôt supplémentaire se pensant trop riche pour la saison ... Il se trouve que le co-fondateur de l'Afep n'est autre que ... Dominique Strauss-Kahn lui-même!

Lorsque l'on sait que DSK appartient également au club très select Le Siècle, le paradigme de DSK et de la France en général me laisse perplexe sur l'état de notre démocratie.

Il semble que la consanguinité actuelle des élites (j'entends l'organisation et la structuration en "club"  des personnalités du pays occupant les plus hauts postes à responsabilités) n'ait plus rien à envier à la Cosa Nostra.




mercredi 10 août 2011

Evitons les emprunts Russe pour payer la dette

Dans un article de Slate.fr, Jacques Attali propose un grand emprunt Européen à partir d’Euro-bons pour régler la dette (mille fois oui à sa proposition SI et seulement si ces emprunts ne se transforment à terme en emprunt Russe (1906).

L'ancien chef économique du FMI Kenneth Rogoff propose dans le même ordre d'idée d'augmenter l'inflation pour effacer la dette.


Dans ces deux cas, les intellectuels théorisent l'abandon des créances par les créanciers et le transfert de richesse vers les débiteurs. Le risque de ces propositions pour le citoyen est de perdre à terme une partie de son épargne (assurance vie, retraite, sicav, quelques actions, etc ...).


La crise a lieu suite à la cupidité, à l'orgueil et à la démesure de quelques un (JP Morgan, Goldman Sachs, BNP, Etats, Politiques, Multinationales et consort).


Si les citoyens doivent sortir la finance du fossé alors :
1- les créances devront être privées et appartenir aux citoyens et non à l'Etat, aux banques ou autres,
2- les banques, entreprises, organisations sauvées devront être nationalisées à hauteur du sauvetage,
3- les acteurs aidés par une augmentation de salaire (conséquence d'un prêt Européen) doivent être ceux qui ont un salaire inférieur à 3 fois le SMIC (4095€ brut mensuel),
4- les acteurs pénalisés par l'abandon d'une créance (conséquence de l'effacement d'une dette) doivent être ceux qui ont un patrimoine financier supérieur ou égal à 70000€ (seuil de garantie limité par l’État).


Ainsi le partage des richesses pourra être rééquilibré, des classes les plus riches vers les classes moyennes et ouvrières.

Agissons aujourd'hui car notre descendance ne doit pas être sacrifié pour quelques égoïstes et cupides.